On m'a souvent dit que les textes du Sang du Printemps avaient vocation à être écoutés aussi. Ce sera chose faite, grâce à une rencontre lumineuse.
Ces vraies rencontres, celles qui donnent envie d'aller plus loin...
Ces vraies rencontres, celles qui donnent envie d'aller plus loin...
Une création sonore donc pour Le Sang du Printemps avec Nicole Marmet, (dont vous ne pourrez voir qu'une part du travail à ce lien http://www.marmetnicole.com/), c'est une traversée, un chemin à prendre, un dialogue qui s'engage et qui déjà me nourrit. Vos voix, chers amis de Syrie, si lointaines aujourd'hui, blessées de solitudes et de tant de souffrances, vos voix que je m'efforce de ne pas laisser se perdre, auront un nouveau souffle, une autre dimension, entre les mains, les oreilles et l'âme claire de Nicole Marmet. Je vous emmène. Elle vous attend.
J'écris Le Sang du Printemps comme un livre et c'est aussi ce chemin que j'ai envie de prendre maintenant pour la centaine de textes qui composent ce blog.
Lectrices amies, lecteurs amis, si vous avez des pistes, des idées, un chemin pour publier, imprimer, donner à ces mots l'espace d'une page, maison de papier où l'on peut entrer et revenir, sans passer par le tamis inconfortable de l'écran... Tout est bienvenu !
Quelques nouvelles aussi du Chant des norias, un chant pour le peuple syrien. Nicolas et moi n'avons pas renoncé, bien au contraire ! C'est à lui d'ailleurs que je dois une forme de ténacité et à son image qui sait toujours me ramener sur la terre que j'aime.
Le livre est en chantier donc... Un beau chantier où naissent d'autres ossatures pour le porter : un feuillet en fin d'ouvrage pour une approche plus historique, géographique, technique et architecturale ; le cadeau merveilleux du calligraphe irakien Hassan Massoudy de quatre calligraphies qui disent autrement les norias et l'espoir ; et enfin une maquette de noria, bel objet à poser près de soi, que Nicolas vient de terminer. Tous ces éléments viendront compléter le projet initial pour former désormais un coffret, hommage aux norias, aux artisans, aux jardiniers, à ceux qui vivent autour d'elles, le peuple syrien....
Quand va-t-il voir le jour ce coffret ? Un début de réponse : pour être vus, entendus, considérés par un éditeur, il faut, de nos jours, avoir de l'entregent ou pouvoir se définir comme "projet commercial fiable", soit... Nous ferons sans, ailleurs, autrement et c'est très bien comme ça. En souscription, nous savons maintenant que nous atteindrons nos objectifs car nous sommes bien soutenus par ceux qui connaissent et aiment nos travaux. Nous avons donc décidé d'un tirage limité pour un objet précieux à ne mettre qu'entre des mains qui y feront attention...
Les norias valent bien ça ! A l'automne, je vous en dirai plus. Et si vous souhaitez faire partie de ces privilégiés, vous donnerai la clef !
Lectrices amies, lecteurs amis, si vous avez des pistes, des idées, un chemin pour publier, imprimer, donner à ces mots l'espace d'une page, maison de papier où l'on peut entrer et revenir, sans passer par le tamis inconfortable de l'écran... Tout est bienvenu !
Quelques nouvelles aussi du Chant des norias, un chant pour le peuple syrien. Nicolas et moi n'avons pas renoncé, bien au contraire ! C'est à lui d'ailleurs que je dois une forme de ténacité et à son image qui sait toujours me ramener sur la terre que j'aime.
Le livre est en chantier donc... Un beau chantier où naissent d'autres ossatures pour le porter : un feuillet en fin d'ouvrage pour une approche plus historique, géographique, technique et architecturale ; le cadeau merveilleux du calligraphe irakien Hassan Massoudy de quatre calligraphies qui disent autrement les norias et l'espoir ; et enfin une maquette de noria, bel objet à poser près de soi, que Nicolas vient de terminer. Tous ces éléments viendront compléter le projet initial pour former désormais un coffret, hommage aux norias, aux artisans, aux jardiniers, à ceux qui vivent autour d'elles, le peuple syrien....
Quand va-t-il voir le jour ce coffret ? Un début de réponse : pour être vus, entendus, considérés par un éditeur, il faut, de nos jours, avoir de l'entregent ou pouvoir se définir comme "projet commercial fiable", soit... Nous ferons sans, ailleurs, autrement et c'est très bien comme ça. En souscription, nous savons maintenant que nous atteindrons nos objectifs car nous sommes bien soutenus par ceux qui connaissent et aiment nos travaux. Nous avons donc décidé d'un tirage limité pour un objet précieux à ne mettre qu'entre des mains qui y feront attention...
Les norias valent bien ça ! A l'automne, je vous en dirai plus. Et si vous souhaitez faire partie de ces privilégiés, vous donnerai la clef !
Marion Coudert
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